0

Impacts positifs.png
Titre - Médecine.png
Accueil.png
Accueil sélectionné.png

Depuis quelques années, la médecine s’intéresse aux jeux vidéo en tant qu’outil de traitement à destination des patients. Une étude anglaise a démontré que les jeux vidéo ont un impact positif sur les malades devant suivre, par exemple, une chimiothérapie. Ils permettent aux patients de mieux se préparer à leurs traitements en les distrayant, ce qui diminue la douleur qu’ils pourraient ressentir. L’utilisation des jeux vidéo comme outil de distraction fait baisser les cas de nausées et le besoin d’analgésiques.

 

En 2016, des chercheurs australiens ont également découvert que les grands brûlés qui jouent à la console ressentent moins la douleur de leurs blessures. En jouant 20 à 30 minutes par jour à la Wii, l’intensité de la douleur d’un certain nombre de malades âgés entre 16 et 59 ans aurait diminué de 17%.

Ce ne sont, bien sûr, pas les seuls exemples. À la sortie de la Wii, Nintendo révolutionna la façon de jouer en proposant aux joueurs d’utiliser des manettes à détection de mouvement (Wiimote). Cette console est devenue très intéressante pour les médecins, notamment auprès des enfants, grâce à l’utilisation du motion gaming (littéralement : jeux en mouvement). Le motion gaming permet aux joueurs de ne pas utiliser le système de boutons standard. Ils peuvent ainsi effectuer des mouvements à la place, favorisant l’activité physique.

 

Avec l’arrivée très récente des casques de réalité virtuelle, on peut maintenant aider des patients atteints de phobies telles que l’arachnophobie, l’agoraphobie ou encore le vertige. De nombreux hôpitaux se sont munis de ces casques pour pouvoir permettre à leurs patient de faire face, en douceur, à leurs phobies les plus persistantes. Le patient sait qu’il se trouve dans un environnement entièrement sécurisé, un environnement en 3D, et peut ainsi s’habituer à la vue d’araignées, aux hauteurs, à la foule… Les résultats de ces méthodes sont généralement très bons et, même si les phobies ne disparaissent pas forcément, elles deviennent beaucoup moins oppressantes pour la personne qui en est atteinte.

 
1600.png
Copy of 1600.png

Page 1 sur 2

Page 2 sur 2